Le SOPK est connu en France comme étant la première cause d’infertilité féminine. Il toucherait plus d’1 femme sur 10, (on parle de 15 à 25%) comme l’endométriose. Bien qu’il soit moins connu que cette dernière, il n’en affecte pas moins la vie des femmes qui subissent ses symptômes : cycles irréguliers, règles abondantes, douloureuses, pilosité, prise de poids, problème de peau…
Cette maladie gynécologique endocrinienne est un dérèglement hormonal qui entraîne un blocage de l’ovulation. Elle se caractérise comme étant une des maladies hormonales la plus fréquente chez les femmes menstruées.
On ne connaît pas encore son origine précise mais on sait qu’elle entraîne une production excessive d’hormones : d’androgènes, de testostérone…
Il y a plusieurs formes de SOPK, plus au moins sévère, avec une grande diversité de symptômes. Son diagnostic n’est pas toujours évident…
Encore une maladie féminine qui nous plonge dans un long combat contre l’errance médicale.
DE FEMMES TOUCHÉES (sûrement l’arbre qui cache le forêt étant donné le retard de diagnostic)
Tu as déjà rêvé d’une bouillotte ceinture que tu peux porter partout pendant tes règles, hyper efficace (attachée par une ceinture), confortable et discrète (invisible sous tes habits) ?
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Développée avec une équipe de pharmaciens et herboriste, elle est composée d’une synergie de 8 actifs de plantes, aux bienfaits allégués selon la réglementation DDPP avec une posologie précise : 10 grammes par jour les jours où les inconforts se réveillent.
Testée et approuvée par les 100 femmes testeuses touchées par l’endométriose.
Le SOPK aurait plusieurs causes probables dont celle du déséquilibre hormonal. Il faut savoir que les hormones FSH et LH sont deux hormones sécrétées par une glande à la base du cerveau, elles ont le rôle d’orchestrer le cycle ovarien.
Pour faire simple, en cas de SOPK, le taux de LH est élevé ce qui perturbe le cycle menstruel et augmente le taux de testostérone et aussi très souvent le taux d’insuline.
Les causes de ce dérèglement sont multifactorielles, il pourrait y avoir une explication héréditaire. D’après une analyse de l’Inserm, les antécédents familiaux augmentent de +30% les chances de développer la maladie.
Un autre chiffre significatif : entre 60 à 70% des filles nées de mères atteintes d’un SOPK développent des symptômes.
Cependant, les gênes responsables du SOPK n’ont toujours pas été identifiés dans les analyses génétiques.
Une étude menée en Pologne démontre que la présence des perturbateurs endocriniens dans l’environnement pourrait aussi être une des causes de la présence du SOPK.
Leur présence pourrait avoir une influence sur le développement de troubles hormonaux et métaboliques.
Qui évoluent avec l’âge
#symptomes #sopk
Les symptômes ne sont pas toujours visibles et souvent les plus difficiles à vivre sont ceux que personne ne voit.
On parle de maladie invisible.
Il faut savoir que les taux de suicide serait 7 fois plus élevés chez ces femmes.
Si la maladie n’est pas prise en charge à temps, l’errance médicale peut amplifier l’impact des symptômes sur la vie de la personne.
#douleurs #symptomes #sopk
#maladie #invisible
D’ailleurs les symptômes peuvent engendrer de nombreuses complications comme :
on a besoin de ton aide !
#pilule #SOPK
Pilule, patch ou anneau vaginal, tous les contraceptifs œstroprogestatifs ont les mêmes avantages et inconvénients. Les hormones injectées sont susceptibles d’augmenter le risque de thrombose, de certains cancers, de perte ou prise de poids… Les effets secondaires possibles et les facteurs de risques sont variables d’une femme à l’autre.
Au delà du critère contraceptif, la pilule peut être prescrite en tant que traitement hormonal pour soulager des douleurs liées à une pathologie hormono dépendante comme l’endométriose, l’adénomyose, le SOPK…
Notre enquête vise à étudier le vécu des femmes avec la pilule, qu’elles la prennent pour soulager des douleurs ou non.
(pas de traitement curatif existant)
#traitement #sopk
Il n’existe pas encore de traitement qui permet de guérir du SOPK.
Cependant, si l’on ne peut pas guérir du SOPK, on peut au moins aider à apaiser les symptômes.
Il existe seulement des traitements symptomatiques pour l’acné, l’hyper-pilosité et l’infertilité.
Un facteur qui peut empirer la maladie : le surpoids. Lorsque c’est le cas, le médecin peut conseiller à la patiente de perdre du poids pour retrouver l’IMC qui lui correspond. Ce conseil peut paraître absurde, mais peut avoir un effet bénéfique et minimiser l’aggravation des symptômes.
En réalité, ce n’est pas si simple, la problématique de la perte de poids dans cette pathologie est un vrai cercle vicieux… Le problème, c’est que ce n’est pas toujours une question d’alimentation et d’hygiène de vie qui font grossir les femmes atteintes.
Dans le cas du SOPK, l’organisme produit une trop grande quantité d’androgènes, ce qui favorise la prise de poids.
#urinaire #vessie
La pilule prescrite par le médecin peut servir au traitement des déséquilibres hormonaux ou à l’atténuation des symptômes liés au cycle menstruel.
Plus particulièrement pour contrer la perte de cheveux, faire baisser le taux d’androgènes, réguler les cycles menstruels, diminuer l’acné, réguler la pousse de poils…
D’un autre côté, on le sait, la pilule peut être source d’effets secondaires. C’est pour cela, que c’est un choix, il faut peser le pour et le contre. Les pilules peuvent aussi engendrer une prise de poids, de l’acné, la perte de libido, changements d’humeur…
D’autres traitements hormonaux peuvent être aussi proposés : anti-androgène (acétate de cyprotérone et ethinylestradiol), anneau vaginal ou encore patchs contraceptifs, etc.
#douleurs #sexuelles
Chaque femme est unique et chaque SOPK aussi, c’est pourquoi il faut trouver la bonne combinaison qui fonctionne pour soi, en testant les solutions et en écoutant son corps.
De plus en plus de femmes se tournent vers les thérapies naturelles pour aider à apaiser leurs symptômes. Même si elles ne guérissent pas, elles peuvent aider à apaiser. Lorsqu’il y a un changement des habitudes alimentaires et hygiène de vie, les symptômes peuvent être atténués.
Pour cela, il faut pouvoir agir sur 3 axes, et le mieux est de se faire accompagner par des thérapeutes spécialisés pour trouver les méthodes personnalisées car chaque femme a des besoins et envies différentes : la nutrition, la mobilité du corps, la gestion du stress…
La prise en charge pluridisciplinaire :
Plusieurs raisons à cela :
Si le diagnostic peut être long, c’est aussi parce que cette maladie, dont on ne connaît pas exactement la cause, présente des symptômes qui peuvent ressembler à d’autres pathologies, notamment comme ceux de l’endométriose et des SPM.
Il faut donc passer par plusieurs examens pour pouvoir affirmer le diagnostic.
Dans un second temps : plusieurs examens seront réalisés pour confirmer la présence du syndrome :
NON, ce n’est pas dans ta tête !
LE LAB DE L’ENDO, C’EST AUSSI UNE MARQUE ENGAGÉE POUR AIDER LES FEMMES À
se faire du bien !
Les signes de SOPK sont des cycles irréguliers : règles abondantes, ou inexistantes ; cycles très courts ou très longs... Ou encore des signes psychologiques (irritabilité, dépression...) ou physiques (pilosité excessive, prise de poids sans explication...). Le SOPK peut aussi provoquer l'infertilité. Les symptômes varient d'une femme à l'autre et peuvent être nombreux.
Il n'y a pas de traitement officiel curatif qui permet de guérir du SOPK. Le traitement médical de première intention est hormonal avec la pilule recommandée dans la majorité des cas. En complément, les traitements thérapeutiques sont efficaces pour soulager les symptômes, améliorer la qualité de vie et même booster la fertilité.
L'endométriose ne peut pas se guérir, mais les symptômes peuvent diminuer voire disparaitre sur le long terme si on les traite. Via un traitement hormonal, chirurgicale et/ou thérapeutique, qui dépendront de l'intensité des symptômes, de l'étendue de la maladie.
Le SOPK est le syndrome des ovaires polykystiques, la première cause d'infertilité chez les femmes en France. Mais infertilité ne veut pas dire stérilité ! Il y a plein de traitements médicaux et thérapeutiques qui permettent de booster la fertilité et tomber enceinte.
Cette maladie endocrinienne est un dérèglement hormonal qui entraîne un blocage de l’ovulation. Elle se caractérise comme une des maladies hormonales la plus fréquente chez les femmes menstruées (+ d'1 femme / 10) et comme la 1ère cause d'infertilité en France, provoquant aussi des symptômes liés au cycle menstruel, ou des signes indicateurs psychologiques ou physiques.
Voilà quelques sources que nous avons utilisées ou citées :
Tous les témoignages sont les bienvenus !
Comme il y autant de symptômes, et de solutions que de femmes, ces listes peuvent ne pas être exhaustives, et nous sommes preneurs des retours de la communauté pour alimenter ces articles afin qu’ils soient représentatifs du + de vécus possible.
Petite note d’importance :
Comme il y a autant de symptômes que de femmes, cet article, comme les autres, offre des pistes à explorer, qui seront différentes pour toutes les femmes.
Il ne vient en aucun cas substituer un avis médical.
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