SYMPTÔMES, DIAGNOSTIC, TRAITEMENT…
+ de la moitié des femmes souffrent de crampes menstruelles régulièrement, 1 sur 5 de douleurs sévères, + d’1 sur 10 d’endométriose et/ou d’adénomyose, même chiffre pour le Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK), et 1 sur 3 du Syndrome de Congestion Pelvienne (SCP). Ou encore des polypes, fibromes, dystrophies…
Au-delà des douleurs chroniques pelviennes dues aux menstruations, il y aussi les douleurs liées à l’ovulation (40%), au Syndrome Pré-Menstruel (SPM) (40%) qui peut à niveau + élevé relever du Trouble Dysphorique Pré-Menstruel (TDPM) (3 à 8% des femmes!). Les symptômes souvent associées aux douleurs menstruelles sont les douleurs lombaires, vulvaires, les règles abondantes, les sautes d’humeur, migraines, la fatigue, les troubles digestifs, urinaires, les seins douloureux…
Une sélection de produits naturels : tisanes, infusions de plantes, ceinture bouillotte, baume de massage, patchs aux huiles essentielles pour les règles douloureuses, pour aider à apaiser les symptômes pouvant être liés au SPM, à l’endométriose… Retrouver toutes les explications en cliquant sur les produits.
DES FEMMES MENSTRUÉES SOUFFRENT DE DOULEURS MENSTRUELLES CHRONIQUES
Le cycle menstruel est défini en 4 phases, qui si elles se passent bien ne sont pas censées être douloureuses :
L’équilibre hormonal repose sur 2 fluctuations d’hormones :
S’il n’y a pas fécondation et donc pas grossesse, les 2 hormones chutent et l’épaississement de l’endomètre s’écoule en sang des règles.
S’il y a eu fécondation, le taux de progestérone reste stable (c’est pour cela qu’on dit que la grossesse calme les symptômes d’endométriose, ce qui n’est bizarrement pas confirmé par la majorité des femmes).
Les femmes atteintes d’endométriose sont souvent sujettes à une hyperœstrogénie ce qui peut résulter de 2 phénomènes :
Quand on est en bonne santé, les règles doivent être régulières, sans symptômes.
L’équilibre hormonal est un signe de santé.
Souvent considérées comme normales car habituelles, les règles douloureuses (qu’elles soient liées ou non à l’endométriose) sont en réalité un cri du corps pour vous faire prendre conscience d’un déséquilibre.
Lors des règles, le corps produit naturellement des hormones appelées prostaglandines qui vont aider l’utérus à se contracter pour se débarrasser de sa muqueuse.
S’il est normal de constater que cette zone “travaille”, des règles trop douloureuses qui vous empêchent de mener à bien vos activités ou provoquent des vomissements doivent vous alerter et vous pousser à consulter un médecin pour diagnostiquer une éventuelle endométriose ou autre pathologie.
Un excès de prostaglandines, lié à un état inflammatoire, peut provoquer des contractions trop fréquentes qui vont à force priver le muscle utérin d’oxygène et accentuer le phénomène de règles douloureuses.
L’inflammation déséquilibre le système hormonal et la communication entre cerveau et ovaires, ce qui a pour effet de :
Tu as déjà rêvé d’une bouillotte ceinture que tu peux porter partout pendant tes règles, hyper efficace (attachée par une ceinture), confortable et discrète (invisible sous tes habits) ?
C’est désormais possible avec la bouillotte du Lab !
L’infusion du Lab est l’infusion médicinale pensée pour aider à apaiser les inconforts (menstruels, ovulatoires, digestifs, endobelly, fatigue, anxiété…)
Développée avec une équipe de pharmaciens et herboriste, elle est composée d’une synergie de 8 actifs de plantes, aux bienfaits allégués selon la réglementation DDPP avec une posologie précise : 10 grammes par jour les jours où les inconforts se réveillent.
Testée et approuvée par les 100 femmes testeuses touchées par l’endométriose.
Les douleurs de règles (dysménorrhée) liées à l’endométriose ou autres pathologies se traduisent par des douleurs qui ne peuvent pas être calmées par un simple antalgique, et sont handicapantes jusqu’à empêcher de mener à bien ses tâches habituelles de la journée.
Elles peuvent faire l’objet d’absentéïsme scolaire, puis plus tard d’absence au travail.
L’intensité de ces douleurs peut aller jusqu’à être comparées, dans les pires des cas, à la douleur d’une crise cardiaque ou d’un accouchement sans péridurale.
Il existe un lien anatomique et mécanique entre les douleurs du dos souvent situées au niveau des lombaires, et les douleurs du pelvis ainsi que des troubles fonctionnels au niveau des organes du petit bassin, c’est-à-dire le rectum, l’utérus, la vessie, les trompes et les ovaires. C’est pourquoi les douleurs pelviennes et lombaires peuvent être liées, notamment pendant les menstruations.
Les douleurs de règles peuvent être aussi liées à des symptômes qui les rendent encore plus handicapantes comme :
Parce que les causes d’une baisse de libido sont nombreuses et peuvent être reliées aux traitements hormonaux, aux douleurs, à la fatigue, au stress… Composition naturellement aphrodisiaque, bio, française, à base de Damiana (Contribue à un bon appétit sexuel), Ginseng (Aide à maintenir de bons rapports sexuels) et Luzerne commune (Stimule la libido féminine) et Safran.
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on a besoin de ton aide !
#pilule #endométriose
Pilule, patch ou anneau vaginal, tous les contraceptifs œstroprogestatifs ont les mêmes avantages et inconvénients. Les hormones injectées sont susceptibles d’augmenter le risque de thrombose, de certains cancers, de surpoids… Les effets secondaires possibles et les facteurs de risques sont variables d’une femme à l’autre.
Au delà du critère contraceptif, la pilule peut être prescrite en tant que traitement hormonal pour soulager des douleurs liées à une pathologie hormono dépendante comme l’endométriose, l’adénomyose, le SOPK…
Notre enquête vise à étudier le vécu des femmes avec la pilule, qu’elles la prennent pour soulager des douleurs ou non.
DES CONSULTATIONS GYNÉCOLOGIQUES ONT POUR MOTIF LES DOULEURS DE RÈGLES
L’endométriose se traduit par des lésions, nodules, adhérences ou kystes, internes à l’utérus (on va alors parler d’adénomyose), ou localisées sur d’autres organes (autour de l’utérus, dans le ventre, la cage thoracique, ou encore dans le cerveau mais c’est très rare). Elles provoquent de l’inflammation, du stress oxydant, une défaillance du système immunitaire, un dérèglement hormonal, et donc des symptômes comme les règles douloureuses, abondantes, irrégulières, mais aussi plein d’autres symptômes.
Elles sont dues en partie aux contractions parfois très violentes de l’utérus.
Certaines femmes peuvent aussi ressentir des douleurs pendant d’autres parties de leur cycle en dehors de leurs menstruations, particulièrement pendant la période de l’ovulation.
Les douleurs pelviennes chroniques liées à l’ovulation peuvent être reconnues par une douleur venant d’une source précise : comme des tiraillements au niveau des ovaires (soit des deux, soit un seul des deux), qui peut ensuite se diffuser dans tout le bas ventre et les lombaires avec des sensations de lourdeurs, de gonflements, de ballonnements, et d’épuisement.
On parle beaucoup des règles car c’est le seul signe visible du cycle menstruel : du sang qui coule, qui sent, qui tâche, qu’on ne peut cacher.
Pourtant, le cycle menstruel ne dure pas que 7 jours (+ ou – selon les cycles) et il ne se passe pas rien le reste du temps… AH NOOON loin de là !!
Tiens pourtant la société, et donc la science ne s’y est jamais intéressée.
Comme le dit Le Monde, on est :
Et la recherche est sous-financée. Comparé à des pathologies comme Alzheimer (45 millions), l’autisme (31 millions), l’épilepsie (64 millions) ou le psoriasis (65 millions). L’idée n’étant pas de prioriser ces pathologies mais simplement de démontrer l’intérêt et les moyens de financement très faibles alloués à la recherche sur le cycle menstruel.
Résultat : les douleurs qui y sont liées sont sous estimées, minimisées et même souvent moquées.
Selon un sondage de Santé Magazine, même :
Selon une étude de Règles Elémentaires :
Alors, on attend quoi ?! 😀
Parlons des douleurs de règle, parlons d’endométriose et d’adénomyose, mais parlons aussi des autres pathologies qui peuvent provoquer ces règles douloureuses, mais aussi abondantes, et irrégulières !
Qu’est-ce que le Syndrome de Congestion Pelvienne ?
Souvent confondu avec l’endométriose, représentant 30% des douleurs chroniques pelviennes ressenties par les femmes dans la zone pelvienne il se traduit par des varices (sang qui ne s’écoule pas correctement et se congestionne) dans le périnée, qui peut aussi s’étendre aux jambes.
Les douleurs peuvent aussi influer sur la digestion, le système urinaire, et la fatigue et l’irritabilité. La prise en charge est chirurgicale avec l’embolie des varices.
Comme beaucoup des pathologies féminines complexes qui causent des symptômes qui concernent plusieurs spécialités de médecine à la fois, le syndrome est donc mal connu, difficile à diagnostiquer.
Qu’est-ce que le SOPK ?
A noter que les règles abondantes et irrégulières sont aussi un des premiers signes du Syndrome des Ovaires Polykystiques (qui concerne autant de femmes que l’endométriose, à savoir + de 10%).
Le Syndrome des Ovaires Polykystiques concerne à peu près autant de femmes que l’endométriose (+1 femme /10) pourtant on en parle beaucoup moins.
Les méthodes thérapeutiques et naturelles sont toujours à étudier en complément des méthodes médicales car :
Au-delà des pathologies liées au cycle menstruel, on peut aussi souffrir de règles douloureuses et/ou irrégulières, abondantes, pour d’autres raisons :
Les fibromes (fibromyomes ou myomes de l’utérus) :
Ce sont des tumeurs bénignes qui apparaissent dans le muscle de l’utérus.
Les polypes :
Ce sont des tumeurs qui se présentent en excroissances sur les muqueuses de cavités naturelles comme le vagin, la vessie…
Les torsions ovariennes :
C’est un mouvement anormal de l’ovaire qui peut se faire sous le poids d’un kyste, après une stimulation hormonale, une grossesse, une tumeur…
Pour agir sur les douleurs menstruelles, comme pour tous les symptômes, il y a 2 solutions : prendre un médicament, « appliquer un pansement » pour aider à soulager instantanément, et/ou comprendre les causes profondes et agir dessus pour aider à réduire les douleurs sur le long terme de façon durable. Voici nos conseils pour te relaxer sur le moment tout en (re)posant des bases saines pour s’apaiser sur le long terme.
#regles #douloureuses #irregulieres
Un.e médecin de la douleur ou un.e gynécologue peut te prescrire des médicaments adaptés à tes douleurs et symptômes. Mais attention à ne pas trop en abuser car les traitements hormonaux et autres médicaments peuvent comporter des perturbateurs endocriniens qui sont néfastes pour le cycle menstruel et les douleurs à long terme.
Des chirurgies sont également possible en dernier recours si tes symptômes sont trop handicapants et que les autres méthodes médicales, thérapeutiques et naturelles ne suffisent pas. Il est essentiel d’être entourée d’une équipe spécialisée endométriose, qui expliquera bien au préalable de la chirurgie la balance bénéfices/risques. Ne pas hésiter à prendre plusieurs avis, ou envoyer son dossier à deuxiemeavis.fr en cas de doute.
#regles #douloureuses #irregulieres
Le pouvoir des plantes est sans fin et peut nous aider à nous apaiser autant en urgence sur le court terme qu’en cure sur le long terme. Par exemple, la menthe poivrée est un tonique anti-douleur, anti-ballonnement ! Elle est aussi anti-nauséeuse. La camomille, le basilic, la lavande, l’achillée millefeuille, l’alchémille, le gattilier, l’hibiscus sont reconnues pour leurs propriétés anti-inflammatoires, antioxydantes, antispasmodiques, anti-douleur, décontracturantes, apaisantes, et donc amies des cycles menstruels douloureux.
N’oublions pas non plus le chanvre thérapeutique, le C8D sur les douleurs, l’inflammation, et pour lequel des études sont même en cours sur le potentiel impact sur la prolifération des cellules endométriales.
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Pour agir de l’intérieur, et espérer un mieux-être sur le long terme, on peut adapter son alimentation (anti-inflammatoire recommandée pour l’endométriose par exemple, comme pour les règles douloureuses, qui produisent de l’inflammation dans le corps comme on l’a vu + haut!) de manière hyper personnalisée, avec l’aide d’un.e conseiller.ère en naturopathie/micro-nutrition, et trouver les bons compléments alimentaires en fonction de nos carences.
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Le travail manuel avec un.e ostéopathe, un.e kinésithérapeute ou un.e praticien.ne de médecine chinoise peut aider à apaiser les règles, l’ovulation, le SPM… Tout comme le yoga, avec certaines positions « d’urgence » qui peuvent apporter un grand apaisement en périodes de crises.
En complément, l’auto-massage régulier (avec des huiles essentielles anti-inflammatoires et antispasmodiques, ou encore des baumes à base de chanvre thérapeutique) pour décongestionner et décontracturer la zone pelvienne/lombaires.
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Une bouillotte peut aider à apaiser en cas de crise, mais aussi agir plus en profondeur, en cure sur le ventre tous les soirs après les repas pendant un mois ou +.
La chaleur permet de décontracter les crampes, mais aussi d’améliorer la circulation sanguine, faciliter le relâchement musculaire et réduire les ballonnements.
Certaines femmes préfèrent l’usage du froid pour s’apaiser. Ce qui peut aussi être une solution thérapeutique à long terme, avec l’usage par exemple des bains dérivatifs.
#regles #douloureuses #irregulieres
Tout comme l’alimentation, le stress chronique a une action inflammatoire et donc un impact important sur les cycles menstruels douloureux et irréguliers.
Pour réduire son stress, se faire accompagner est efficace : sophrologie, hypnothérapie, sport…
Les routines quotidiennes maison peuvent aussi aider : yoga, méditation, C8D, phytothérapie, auto-massages… On peut même tester l’ASMR, les techniques d’EFT, les affirmations positives, les intentions, les mantras à se répéter chaque matin, l’écriture, tenir un carnet de gratitude… Tout ce qui peut nous faire du bien ! 🙂
NON, ce n’est pas dans ta tête !
LE LAB DE L’ENDO, C’EST AUSSI UNE MARQUE ENGAGÉE POUR AIDER LES FEMMES À
se faire du bien !
On peut consulter pour règles douloureuses quand les douleurs :
On peut consulter pour des règles abondantes quand les règles :
Le 1er examen de diagnostic est l'échange avec son/sa médecin. Répondre à un questionnaire basique doit permettre d'orienter vers le/la spécialiste adéquat.e pour ensuite faire d'autres examens selon les symptômes (échographie, IRM...)
Plusieurs solutions médicales et/ou thérapeutiques et naturelles existent :
Voilà quelques sources que nous avons utilisées ou citées :
Tous les témoignages sont les bienvenus !
Comme il y autant de symptômes, et de solutions que de femmes, ces listes peuvent ne pas être exhaustives, et nous sommes preneurs des retours de la communauté pour alimenter ces articles afin qu’ils soient représentatifs du + de vécus possible.
Si tu veux témoigner, ça se passe par ici !
Petite note d’importance :
Comme il y a autant de symptômes que de femmes, cet article, comme les autres, offre des pistes à explorer, qui seront différentes pour toutes les femmes.
Il ne vient en aucun cas substituer un avis médical.
Si tu veux discuter, je suis dispo ici :
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